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 Footing matinal [Jules]

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Lizzie M. Donovan
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MessageSujet: Footing matinal [Jules]   Footing matinal  [Jules] Icon_minitimeLun 28 Nov - 22:14

Comme tous les jours depuis plusieurs années déjà Lizzie débutait sa journée par un footing matinal, elle en avait besoin pour bien commencer la journée. Il n'y avait qu'une seule hypothèse où elle se résignait à ne pas sortir pour aller courir c'était lorsque le climat faisait des siennes mais attention lorsque la miss ne sortait pas pour courir ce n'était pas à cause d'un peu de pluie ou de neige non c'était plutôt lorsqu'il y avait une tempête comme celle qui s'était abattue sur la ville de New-York au mois d'août dernier. Bref vous l'aurez compris Lizzie adorait courir et de temps en temps elle était même accompagnée, même si des fois les personnes qui l'accompagnaient ne le faisaient pas vraiment par plaisir, elle se souvenait encore de la fois où Alec avait fait un effort surhumain pour sortir de son lit et venir courir avec elle. A cette époque-là, Lizzie vivait encore avec sa mère et son frère, elle devait avoir seize ans et un samedi matin après avoir tourné en rond dans son lit pendant un petit moment parce qu'elle n'arrivait pas à dormir, la jeune adolescente s'était levée aux environs de six heures et avait décidé d'aller courir un peu mais elle avait fait trop de bruit en se levant et avait réveillé son frère. Alec n'avait pas voulu la laisser sortir seule alors que le jour n’était pas encore levé et qu’il y avait très peu de personnes dans la rue ; comme sa sœur était très têtue il avait vite compris que s'il ne voulait pas qu'elle soit seule il allait falloir que quelqu'un l'accompagne vu qu'il était hors de question qu'elle reste à la maison et comme à chaque fois qu'il pensait qu'elle avait besoin de lui mister Donovan s'était gentiment dévoué - bien que Lizzie ne lui ait rien demandé - pour aller courir avec elle, même si le pauvre avait eut du mal à finir le jogging vu qu'il était rentré d'une soirée qu'il avait passé avec Noah aux environs de quatre heures donc forcément couché à quatre heures et levé à six heures on pouvait comprendre qu'il ait eut quelques difficultés à tenir le rythme.

Bref, donc comme chaque matin la benjamine des Donovan était partie courir armée de son meilleur jogging, elle avait pris la direction de Flushing Meadow , un parc où elle allait régulièrement courir depuis quelques mois déjà et où elle avait fait la connaissance de Jules Keppner. Les deux jeunes femmes ne couraient pas ensemble puisque chacune avait son propre rythme mais il n'était pas rare qu'elles papotent autour d'un café à la fin de leur jogging c'était d'ailleurs comme ça qu'elles s'étaient rencontrées. En effet, un jour après avoir couru Lizzie s'était approchée du stand où l'ont vendait les cafés pour s'en payer un sauf qu'étourdie comme elle était la miss avait oublié son portefeuille chez elle, Jules l'avait vu fouiller ses poches sans succès et lui avait alors proposé de la dépanner, depuis ce jour là, elles avaient sympathisé et passaient même du temps ensemble en dehors de leurs séances de footing.

En arrivant au parc ce matin là, Lizzie n'aperçut pas tout de suite Jules, elle commença donc à courir en écoutant de la musique et n'aperçut la silhouette de son amie qu'une petite heure après en compagnie d'un mec qui devait certainement être en train de la draguer vu le sourire faux cul qu'il avait au visage. Lizzie n'avait encore jamais vu Jules remballer un mec qui la draguait lourdement mais vu le caractère qu'avait son amie, la jeune Donovan aurait bien aimé être une petite souris pour pouvoir entendre la réponse de Jules. Lizzie allait-elle venir au secours de Jules ? Bien sûr que non ! Au lieu de ça, elle alla s'asseoir tranquillement sur un banc pour admirer le spectacle, il ne lui manquait plus que du pop corn et ça aurait été parfait. Alors qu'après quelques instants à regarder la scène, elle songea à aller aider Jules à se débarrasser du gars qui lui collait aux basques, son regard croisa celui de son amie qui apparemment l'avait repéré admirer le spectacle, c'est à ce moment là que le mec qui lui parlait depuis un moment se retourna pour regarder Lizzie, qu'est-ce que Jules avait bien pu lui dire pour qu'il regarde dans sa direction ? Lizzie n’en avait aucune idée mais une chose était sûre ça n’était pas très bon signe …


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Jules M. Keppner
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MessageSujet: Re: Footing matinal [Jules]   Footing matinal  [Jules] Icon_minitimeVen 9 Déc - 16:35

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Courir était un plaisir. Une libération. Le moyen d'évacuer la pression de la semaine, de semer les soucis à chaque foulées et surtout de garder la forme. Courir était une activité commune à bon nombre de new-yorkais, accrocs aux petites hormones libérées à travers tout le corps une fois la douleur de l'effort surmontée. J'aimais ça. J'enfilais mes baskets, je m'attachais les cheveux en un chignon relevé, et je partais courir. Qu'il pleuve, qu'il vente, qu'il neige... J'allais courir. Tout simplement parce que j'en avais besoin. Et je n'étais pas la seule à le ressentir. Je croisais souvent des visages connus à travers le parc. Certes, je changeais mes parcours, mais je retombais sur les mêmes joggers. On se suivait, se saluait, ou bien s'ignorait. Mais on se reconnaissait. Bien sûr, New-York abritait des gens plus ou moins courageux. Certains abandonnaient et disparaissaient du circuit. D'autres s'acharnaient. J'en faisais partie. Je ne laissais jamais tomber, et je m'accrochais à tout ce que j'entreprenais. Ainsi, si on souhaitait me stopper, il fallait me passer sur le corps !

Mine de rien, en faisant ce petit jogging, j'en avais appris de bien bonne. De manière indirecte, bien sûr. Mais ça en revenait au même, et sans cela je n'aurais jamais fait la connaissance d'Elizabeth. Oh ma petite Lizzie ! J'avais rencontré la jeune femme alors que j'avais tout juste terminé mon petit parcours du combattant. Et c'est parce que je me mêlais de tout, même de ce qui ne me regardait pas, que j'avais fait sa connaissance. La pauvre... La voir se battre avec ses poches pour récupérer une monnaie inexistante... Ça m'avait fait de la peine pour elle. Et comme j'appréciais moi aussi un bon café après ma séance de sport, je m'étais permis de lui offrir le sien. Et ça, je ne l'aurais pas fait avec tout le monde. Mettez-moi Alec, sans que je sache qui il était, je ne l'aurais pas fait par exemple... Bon ok, je l'aurais fait. Mais pas pour les mêmes raisons. Lizzie avait une bonne tête, et très rapidement je pus constater qu'elle était aussi adorable. Sans compter mes autres découvertes, comme le fait qu'elle était liée à l'abruti cité un peu plus haut. Nous avions pour habitude de nous retrouver ici-même. Non pas pour courir, car nous ne le faisions pas ensemble. Mais pour partager un moment ensemble, entre filles, autour d'un café. On se racontait nos journées, nos petites histoires de nanas. On rigolait bien et j'appréciais ces instants. Mes préférés demeuraient lorsqu'elle me parlait de son frère. Ce que j'adorais l'entendre me livrer des anecdotes à son sujet. « S'il savait que je t'ai raconté ça, il me tuerait ! » -m'avait-elle un jour avoué, me décrochant un large sourire. C'était peu dire. Il l'aurait anéanti !

Ce matin, j'étais allée courir, comme à mon habitude. J'avais fait mon petit tour, et j'avais fini par me stopper, à l'endroit habituel. J'avais cherché mon amie. Sans succès. Pas de Lizzie dans le coin. Du moins, pas encore. Alors j'avais patienté. Sagement. Je savais qu'elle viendrait, et si jamais elle n'arrivait pas, je ferais demi-tour. « Mademoiselle ? » Je me retournais et aperçu un homme, souriant... Trop souriant peut-être. Il me fixait, s'avançant vers moi, je le voyais venir à des kilomètres. Son manège était gros comme une maison. « Je peux vous offrir un verre ? Une sportive comme vous doit se désaltérer... » J'esquissai un sourire, faussement amusée. « Non, ça ira... - Oh s'il vous plaît ! Je vous l'offre, ça ne vous coûtera rien... - Non, mais n'insistez pas. Je suis... J'apercevais alors au loin, sur un banc, Lizzie. Elle semblait s'amuser de la situation. Je décidais de me saisir de cette opportunité. accompagnée ! » Il sembla surpris de ma réponse, regardant autour de moi pour me faire comprendre qu'il ne voyait personne. Je désignais alors Lizzie d'un signe de tête, derrière lui. Il se retourna et je le saluais poliment en m'éclipsant sans plus attendre. « Salut jolie brune ! Prend-moi dans tes bras, t'es officiellement lesbienne pour quelques instants. »

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MessageSujet: Re: Footing matinal [Jules]   Footing matinal  [Jules] Icon_minitimeLun 5 Mar - 23:31

Lizzie adorait s'amuser des situations embarrassantes dans lesquelles ses amis pouvaient se retrouver parfois vraiment c'était un pur délice, le problème c'était que des fois ces situations pouvaient la mettre être elle-même dans l'embarras c'était d'ailleurs ce qui était en train de lui arriver en ce moment même. Lizzie adorait vraiment Jules, elles passaient de très bons moments il y avait juste un seul petit problème : Jules avait l'esprit aussi tordu que Lizzie alors forcément lorsqu'elle avait vu son amie s'approcher d'elle avec un immense sourire, très vite elle comprit que quelque chose ne tournait pas rond et qu'elle avait certainement trouvé un moyen de lui rendre la monnaie de sa pièce et elle n'avait pas vraiment tord puisque son amie lui annonça que pour quelques instants elle était lesbienne, la jeune Donovan se prêta au jeu et prit Jules dans ses bras.

T'es bien gentille avec un moi, quand j'ai vu le sourire que tu avais j'ai cru que tu allais l'envoyer vers moi pour t'en débarrasser. lui dit-elle avant de la relâcher, le mec en question venait de partir dans une autre direction, il avait sûrement compris qu'il n'avait vraiment plus aucune chance avec Jules. Ton soupirant vient de partir, dis donc pas moyen de te laisser deux secondes toute seule, j'ai à peine deux minutes de retard que quelqu'un t'a déjà sauté dessus lui dit-elle en souriant.

Lizzie s'approcha ensuite du stand où l'on vendait les cafés en commanda deux et une fois qu'elle eût payé, elle en donna un à Jules puis les deux jeunes femmes commencèrent marcher. Comme d'habitude pour commencer elles s'échangèrent des banalités mais bon étant curieuse par nature - ce n'est pas pour rien que Lizzie avait fait des études de journalisme - très vite la jeune femme s'intéressa à la vie personnelle de Jules et oui c'était bien sympa de parler de la pluie et du beau temps mais la jeune Donovan voulait du scoop. On ne pouvait pas vraiment dire que Jules et Lizzie étaient particulièrement proches, en même temps la plupart du temps elles ne se voyaient que pour partager un café après leur foooting, mais bon ça ne les empêchait pas d'en arriver à parler de leur vie respective. Il n'y avait pas de sujet particulier, c'était plutôt en fonction de leur humeur d'ailleurs la dernière fois qu'elles s'étaient vus elles avaient passé une bonne partie de l'après-midi à se plaindre chacune leur tour, pour Jules c'était un collègue de travail qu'elle avait du mal à supporter et pour Lizzie et bien son frère venait de lui prendre la tête sur "l’'irresponsabilité" dont elle avait fait preuve en allant fouiller le bureau d'Hector Ainsworth bref à croire que ces deux là s'étaient donnés le mot pour contrarier Jules et Lizzie le même jour.

Dis-moi entre tous tes voyages à l'autre bout de la planète, tu n'as pas trouvé un beau steward qui a succombé à tes charmes ? demanda-t-elle avec un sourire au coin des lèvres. Après tout si tu as repoussé le charmant jeune homme qui est venu te parler tout à l'heure il y a peut-être une bonne raison continua-t-elle sur sa lancée.

Bon ok, elle avait peut-être légèrement exagéré en qualifiant le mec qui était venu lui parler de charmant, à vrai dire Lizzie le voyait plutôt à être du style bien lourd et à avoir des techniques de dragues qui devaient déjà être démodées en 1960, en fait elle le voyait bien interpeller les filles dans la rue avec des phrases du genre "Mademoiselle, vous avez fait tomber quelque chose !...mon cœur !" et connaissant Jules c'était le genre de personnes qu'elle devait remballer vite fait bien fait d'ailleurs c'était bien dommage qu'elle ne l'ait pas remis à sa place mais bon peut-être une prochaine fois.

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Jules M. Keppner
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MessageSujet: Re: Footing matinal [Jules]   Footing matinal  [Jules] Icon_minitimeLun 11 Juin - 12:08

Les techniques de drague à deux dollars avaient le don de me fatiguer. Moralement, s'en devenait facilement épuisant. A croire que je ne méritais pas mieux qu'un banale compliment sur mon physique et un café dans Central Park ; qu'on ne pouvait pas partager avec moi une conversation passionnante et intelligente ; que le temps et la patience ne pouvaient me charmer et qu'il était nécessaire de se ramener face à moi avec ses gros sabots, des phrases mielleuses et un sourire en coin digne d'un John Travolta des temps modernes dans Grease. Alors bien sûr, je les envoyais promener. Comment s'en sortir autrement ? Ma bonté avait déjà eu raison de moi. J'avais par le passé accordé le bénéfice du doute, jusqu'à accepter un rendez-vous galant avec un de ces joggers du dimanche prêts à tout pour mettre une fille bien faite dans leur lit... Après tout, ils n'avaient pas forcément tous l'étiquette du mec lourd à souhait, non ? Jusqu'à ce que le rendez-vous en question ne se transforme en cauchemar. Aussi, je préférais désormais m'épargner de tels supplices. Et cela, quitte à me faire passer pour une lesbienne, avec l'aide précieuse de mon amie.

Heureusement pour moi, Lizzie était une vraie complice. Elle entrait aisément dans mes petites comédies, me prenant dans ses bras sans broncher, tendrement. Au moins, le message passait et l'homme n'insistait pas en me voyant littéralement et faussement fondre dans les bras de ma douce. Lorsqu'elle m'annonça le départ de l'inconnu un peu trop collant, je fus comme soulagée. Relâchant la jeune femme, j'esquissai un petit sourire en coin et haussai les épaules. « Que veux-tu, j'ai la côte dans le coin... Heureusement que tu ne m'as pas fait faux bond, je t'aurais attendu avec ce type pendant des plombes ! » Lizzie s'approcha du stand de café et nous commanda deux gobelets. J'allais pour payer le miens lorsqu'elle me devança et régla la totalité de la note. En un regard je lui fis comprendre que je lui revaudrais tôt ou tard cette dose de caféine. Comme à notre habitude nous entamèrent notre petit tour à pieds, pour nous remettre de nos efforts. J'aimais ces instants en sa compagnie. C'était d'une simplicité qui m'était tellement rare à New-York ! Le genre de relation qui me faisait un bien fou, me maintenant dans une réalité à la monsieur et madame tout le monde, me stabilisant en m'offrant un semblant d'équilibre social. Je n'avais pas que des relations professionnelles, des supérieurs à ne plus savoir où donner de la tête, avec des ordres à gogo et des protocoles en veux-tu en voilà !

On discutait de tout et de rien, ce qui pour certain était presque quotidien et qui chez moi relevait d'une conversation presque surréaliste tant il était rare que l'on me parle de la météo par exemple... Certes, les informations aussi bien locales qu'internationales étaient ingérées en non-stop par mon cerveau, sans jamais atteindre le point de non retour. Je n'avais pas tellement le choix à vrai dire... Mais parler avec un brin d'insouciance et de légèreté faisait du bien. Lizzie ne le soupçonnait pas, mais elle était une réelle bouffée d'oxygène. Vint alors les questions plus personnelles, celles qui sans en avoir l'air me mettait mal à l'aise par rapport à la jeune femme. Je lui mentais. Et j'avais horreur de ça car j'appréciais sincèrement Lizzie. En un sens, j'étais fausse avec elle. Je trichais en lui servant le même speech qu'aux autres sur mon parcours, ma profession, ma soit disant vie d'hôtesse de l'air ! « Oula ! Pas le temps, si tu savais... ! » Je feintais toujours un train de vie bien trop mouvementé pour me poser dans une relation avec une homme. J'allais même jusqu'à prétendre qu'aucun d'entre eux ne serait assez patient pour m'attendre alors que je parcours le globe, et quand bien même je trouverais quelqu'un de cette même profession, il serait impossible de se voir. ''Baiser entre deux avions très peu pour moi !'' avais-je un jour répliqué, le plus spontanément du monde sans avoir peur de choquer ses petites oreilles innocentes. « Et toi, les amours ? Ça fait des étincelles ? »
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